samedi 28 juin 2008

Les photos de notre déjeuner-rencontre

Pour info, toutes les photos du Dimanche 22 juin 2008 sont dans la colonne de gauche, après les chants. Si certains d'entre vous ont également des photos qu'ils souhaitent publier sur le blog, pas d'hésitation : soit vous le faites vous-même si vous êtes "auteur , soit vous me les envoyées. Si vous n'êtes pas encore "auteur" demandez le moi. Un p'tit mail, et le tour est joué ! Bises à toutes et tous.

mercredi 25 juin 2008

C'était un beau dimanche

Claude et moi avons beaucoup aimé cette nouvelle rencontre du 22 juin à Saveteux. 27 présents, ce n'est bien sûr pas tous les Sermizelliens, mais une grande chaleur et amitié étaient là, bien présentes dans le groupe. Gaby, Yoyo que nous n'avions pas revus depuis longtemps avaient eu envie d'être là.

Je n'oublie pas non plus ce moment d'émotion intense où nous avons chanté avec une grande tendresse, la chanson Russe, tant aimée de Jacques, pour lui tout seul. Il n'est pas possible qu'il ne nous ait pas accompagné dans son ciel tout là haut...

Annie, Grand maman, et sa charmante fille avec ses quatre enfants dont les tout petits jumeaux, beaux comme des dieux dans leur relax et déjà bercés par tous ces chants, qui partent d'un coup, repris en choeur comme si nous les avions répétés hier...n'est-ce pas de la magie ?

Chacun demandait des nouvelles des absents et comme cela, toute la famille se recomposait.

Un détail, notre Pépette. Etait-ce l'arrêt pour devoir accompagner Astrid, la présence de Gaby ? mais il y a longtemps que je ne l'avais retrouvé autant déconneur...chantant à tue tête, et plein de gaité ! Cela aussi fait plaisir.

Grosses bises à tous,

Gégé.

mardi 24 juin 2008

Week-end - Saveteux - (suite et fin ...) presque !

Vendredi je vous racontais, le début de ce grand Week-end dont le point d’orgue était évidemment le déjeuner à Saveteux. Début de long week-end donc, avec l’arrivée de Gaby, déjeuner chez Pépette, et visite chez France.

France, une des grandes figures de notre colo, ayant quelques problèmes de santé n’a pas souhaité être avec nous dimanche … dommage !

Hier lundi, Christian, Gaby et moi, sommes allés le chercher chez lui et avons déjeuné ensemble chez Pépette. Et là … mes enfants ! Que d’histoires, que d’anecdotes ce diable de France nous a-t-il submergées ! Des jeux de mots et des calembours à n’en plus finir…

Puis pour terminer en beauté, nous sommes allés chez Mérinos et François pour un apéro dinatoire, avec souvenirs … souvenirs ! Et oui, c’est une pratique

Bises à toutes et tous.

dimanche 22 juin 2008

Déjeuner du 22 juin 2008


Ils sont venus,

Ils étaient presque tous là !

Certes nous n’étions pas aussi nombreux que l’an dernier, mais ces retrouvailles n’en furent pas moins joyeuses et chaleureuses.

Venus de Coulommiers, nous avons retrouvé Annie

Accompagnée d’ Isabelle avec ses deux grands et ses deux petits.

Il y avait aussi Richard et Serge accompagné de Madame : les frères Dony.

Et puis celles et ceux du Sud du pays :

Gaby est venu du pays du nougat, de Montélimar,

Et Claude Gohyn et Madame , des Bouches du Rhône où ils résident à Chateaurenard.

Jean-Marc Demoncheaux venant de Clermont-Ferrand.

nous a permis d’évoquer de sacrés bons moments !

De la région parisienne,

Plus précisément des Hauts de seine,

En est venu un autre, et pas n’importe lequel,

Puisqu’il s’agit de Lionel.

Vous vous souvenez de lui … c’est Yoyo ;

Mais il a grandi et n’avait plus son p’tit calot !

Du gâtinais, des faubourgs de Pithiviers

Ils sont partis volontiers,

Puisqu’ils avaient, eux aussi, avec la tribu, rencart

Vous les avez reconnus : Micheline et François Dart.

Au pays des 2 fleuves et de ses environs,

du triangle Nemours - Montereau - Fontainebleau

comme répondant à l’appel du clairon.

Ils sont arrivés telle une volée d’étourneau.

De cet endroit où les eaux de l’Yonne charriant celles de la Cure

Retrouvent et prennent le pas sur le flot de la Seine

Avant d’aller arroser la capitale à quelques encablures,

Bref ! De la ville et des alentours du confluent,

Est venu un important contingent :

Marie-Thérèse (Mérinos) et François.

Astrid Breysach – Navarro.

Gérard et Claude Grattepain.

Daniel et Chantal Jamet.

Annie Villeminot – Dequenne et Jeannine Villeminot – Gilles

(les filles du Père Louis)

Christian (Pépette).

Roger (l’Ayack) Sylvie et Guillaume Bricker.

Georges (Jojo) Leclerc.

Jean-Michel Marchon.

J’aimerai rappeler ici une note de Jean Lille datée le 20 Octobre 2006, dans laquelle il publiait un : « Extrait d'un dictionnaire ethnologique à paraître » posant la question : « Qui sont les Sermizelliens ? »

Sermizellien (e)

1- Habitant (e) du village de Sermizelles (dans l'Yonne)

2- Membre d'une tribu originaire du Bassin Parisien ayant pratiqué la transhumance estivale sur le site de Sermizelles.

Les Sermizelliens avaient un mode de vie proche de la nature, mi-sylvestre, mi-aquatique, parfois même subaquatique. Episodiquement troglodytes, ils avaient incontestablement des activités cavernicoles. Une de leurs pratiques caractéristiques consistait à réunir la tribu, surtout le soir, pour chanter.

Après l'abandon de sa transhumance estivale, la tribu a cessé de fréquenter le site de Sermizelles. Ses membres se sont dispersés au sein de leurs ethnies d'origine, sans abandonner pour autant certaines des pratiques et des valeurs qui fondaient l'identité de la tribu.

Parmi les pratiques qui pourraient encore de nos jours permettre aux ethnologues de reconnaître un Sermizellien, nous pouvons citer celle dite du "gant sec" (ou du gant humide, les avis diffèrent), sur laquelle existe déjà une littérature abondante. Les ethnologues sont particulièrement intrigués par son aspect rituel.

Un autre trait, très fiable et plus accessible à l'observateur extérieur, tient dans le fait que lorsqu'un Sermizellien en rencontre un autre, ils entonnent inévitablement un des nombreux chants qui servent à la tribu de signal de reconnaissance. Impossible de s'y tromper.

Evidemment, lors de ce déjeuner-rencontre du 22 juin 2008, nous n’avons pas dérogé à cette pratique, et avant de se séparer avons, avec beaucoup de bonheur et des yeux souvent emplis de joie et d’émotion, entonné l’essentiel de notre répertoire.

PS : quelques photos de cette rencontre sont dans les albums. Colonne de gauch

samedi 21 juin 2008

samedi 21 juin 2008

Hier matin, vendredi 20, Christian (Pépette) et moi, avions rendez-vous à la gare de Montereau pour accueillir notre ami Gaby. Arrivant de Montélimar il vient passer quelques jours ici pour être des nôtres Dimanche, lors du déjeuner-rencontre.

Petite halte en centre-ville, et rencontre avec Marie-thérèse (Mérinos).

La terrasse du bar de l'hôtel de ville est là qui nous tend les bras !

Qu'est-ce que j'vous sers m'sieu-dame ? La journée ne commence pas trop mal !

En fait ce fut une super journée, la météo étant avec nous, comme en témoigne cette photo prise chez Christian où nous avons déjeuné. Nos jeunes années là-bas dans le Morvan, furent passées en revue, mais également les copains - les copines. Nous avons eu une pensée particulière pour Jacques à l'évocation de certains souvenirs. Nous nous sommes également souvenus de Baghéra (Yvette Dehon) que Gaby a souvent rencontrée, de Pahlou * de Tantel ... Bref ! on a revisité notre passé, on a bien sûr parler du présent et préparé l'avenir, nos futures expéditions à Sermizelles : quand ? comment ?

Et puis dans l’après-midi nous sommes allés rendre visite à France. Là encore des histoires ... des anecdotes !

Je vous le disais …. Vraiment une bonne journée !

A dimanche.

* - Christian nous a fait voir une lettre de Pahlou (particulièrement émouvante) ou lui-même orthographiait son surnom de cette façon, avec un « h ».

Bises à toutes et tous.

jeudi 19 juin 2008

En attendant Dimanche ...

Comme convenu, et juste pour rafraichir un peu les mémoires défaillantes, je rappelle que nous avons rendez-vous Dimanche prochain, le 22 Juin 2008 à Saveteux, commune du Châtelet en brie aux environs de 13h00.

Nous serons 27 autours de la table, dans la même salle que l’an dernier.

Pensez à prendre votre portable et en cas de problème sur la route :
à 06.74.06.87.06

Bises à toutes et tous

mercredi 18 juin 2008

Histoire en 2 temps … (voir 3 !)

1er temps :

Eté 1956 :

Après-midi comme un autre par temps calme.

Réfugiés derrière un arbre, entre les balançoires et le pont sur la Cure, un « fumaillon » de mon genre m’aidait à griller une P4 en cachette, puisque nous n’étions pas assez grands pour la tour carrée.

Pendant que « j’officiais », nous vîmes un mono se diriger vers nous. Paniqué, j’éteignais très vite la cigarette, et pour ne pas se faire « piquer » la glissais furtivement dans la poche arrière de mon short.

Soupçonneux le mono demande :

- Que faites-vous là ?

- Nous ?… rien. On attend !

- Vous attendez quoi ?

- Nous ? … la fin du temps calme.

- Ah bon ! vous ne fumez pas par hasard ?

- Ah non, nous on ne fume pas … on est trop petit d’abord !

A cet instant, sentant une odeur de brulé, je vis les yeux de mon copains s’arrondir et regarder par dessus mon épaule. Puis, simultanément les yeux de l’inquisiteur se froncer et regarder au même endroit. ( plus tard, mon complice me dira : une fumée s’élevait dans ton dos, et je ne savais quoi faire ). Puis brusquement je me mis à trépigner sur place et frotter énergiquement ma fesse droite en chaleur en gueulant comme un putois.

- Chut ! me fit le mono … c’est le temps calme, et puisque vous ne fumiez pas, tout va bien, conclut-il en s’éloignant.

Tu parles si tout allait bien, on aurait pu passer un œuf par le trou roussi de la poche de mon short. Sans parler de l’explication future pour mon Père, lors de l’inventaire de retour.

2ème temps :

Dimanche 6 Septembre 1979.

Lors de ces formidables 1ères retrouvailles, je racontais cette histoire au cours du repas pris dans le parc. Une voix connue me demande :

- Comment s’appelait-il ce mono ?

- Désolé Palou, je ne m’en souviens pas !

- Dommage ! Si je refaisais une colo un jour, j’aimerai bien le reprendre celui-là !

Epilogue

En visite chez Jacques et Maryse Dozier, l’avant-veille de Noël 2007, je racontais à nouveau.

Jacques m’écouta en silence, puis après quelques secondes, me dit :

- C’est le genre d’histoire que tu pourrais écrire sur le blog.

Voilà, Jacques … c’est fait ! Salut à Toi.