Ou sont les spéléologues d'antant ?

Qui se rappelle des petits " trous de Saint Moré"

"Leuleu" : un auvent splendide, notre cantonnement se trouvant au milieu des grottes de la colline, plein sud, nous y vécurent comme l'homme de CRO ( toutes proportions gardées ), faisant notre repas sur un feu de bois, et puis, prendre à l'entrée un petit bain de soleil et après dormir dans ce silence avec la protection de la nature.

Ces grottes, coté Saint Moré .

" Le Tisserant" au dessus de la station service ( ou ex ) et de l'autre coté du tunnel celle du Père Leuleu, celle de Nermont ( cimetière des chauves souris et boyeau de notre apprentissage à la spéléo).

" La Chatière" ou Palhou à chaque passage avait le slip en bas des pieds.

"La Cuillére" avec cette rampe de glaise , facile à descendre sur le " cul " mais pour la remonter ... problème ?

"L' Entonnoir " , cette grotte pourrie la dernière à ma connaissance du versant de Saint Moré difficile à cause cette glaise mouvante à certains endroits , ce fut la grotte il me semble la moins sympa mais ?

Salut à bientot de vous lire .

Marie Jo , Pepette .

Rédigé par Christian Dondellinger

Merci à vous trois

Jean Michel,
Merci d'avoir relaté comme tu le dis " les exploits de certaines équipes ". Ce fut une expédition formidable pour les gamines et gamins que nous étions .

Gilles,
Pour te répondre " et tu en as fais quoi " . Je pense et heureusemement nous ne sommes pas les seuls, nous avons vécus notre vie, une vie respectueuse de l'autre, de l'environnement, de tout ce qui peut représenter la liberté, le droit de penser, la culture.
Il est vrai que ce monde d'aujourd'hui nous l'avons fait .
Mais comme le dit Jean Michel " l'ouverture de parapluie " fut un arrêt à l'aventure, c'est à dire à l'épannouissent des jeunes ( tout est calculé sans risque, l'état le veut comme cela et ce n'est de ce jour ). Mais ou est cette liberté que nous avions ?
Je pense que cela est dommage car des diplômes souvent dans le domaine des jeunes ne servent à pas à grand chose si on croit pas en eux.
Nous avons eu dans notre jeunesse la chance d'avoir des monitrices et moniteurs avec ou sans diplôme, qui prenaient la responsabilité de nous faire faire tout ce que nous avons vécu, des choses formidables pour nous "gamins"( cela n'est malheureusement plus possible ,quel gachis ! )
Chapeau à cette colo qui après 50 ans vit toujours , que l'amitié est belle !


Gégé
Tu as aussi une bonne mémoire, il me semble que cette scène se déroulait sous le pont de chemin de fer juste ou presque au dessous de la grotte du Pére Leuleu ".

Nous vous embrassons toutes et tous, et après tout, un peu de courage pour mettre simplement un petit mot sur ce " blog" ...

Nous attendons de vos nouvelles
Marie Jo , Pepette

Rédigé par Christian Dondellinger

Un camp en Août 55 ... suite et fin.

Sur ce même cahier, sont relatés les exploits d’une autre équipe composée de :

Astrid – Annie – Jean-Jacques – Bernard – Daniel – Pépette.

Expédition La Rochette.

Jeudi matin accompagné de quatre camarades je pars en reconnaissance d’une passerelle qui d’après les instructions de notre moniteur doit de trouver à environ 1 km du Moulin Cadou, sens contraire du courant. Nous empruntons la route du Moulin Cadoux, puis sur notre gauche un chemin de coupe : nous y pénétrons. Après avoir parcouru 300m, nous prenons un sentier praticable sur 100m environ. Une difficulté s’offre à nos yeux : « un mur de ronces, de branchages d’épines est là presqu’infranchissable. Pourtant il faut passer. A l’aide de nos couteaux et de nos pieds nous parvenons à grand’ peine à nous frayer un maigre passage. Nos membres sont couverts d’égratignures, mais nous reprenons notre chemin ou nous trouvons un tronc d’arbre posé sur un rocher. Nous pensons que c’est la passerelle cherchée et nous rebroussons chemin parce qu’il est l’heure de déjeuner. Nous rentrons manger et nous faisons le plan de notre expédition.

Vendredi.

Le Vendredi matin à 10h nous partons tous joyeux. Nous passons par le Moulin Cadoux et nous reprenons le chemin de la veille et nous rencontrons la véritable passerelle indiquée sur la carte d’état-major. La deuxième de la passerelle indiquer était encore très endommagé il ne reste plus que 2 poutres. Nous y passons assez difficilement nous rencontrons 2 chemins. Ne sachant lequel prendre Mimi dit : « On n’a qu’à prendre le plus près du Cousin ». Nous passâmes dans des fougères deux fois plus hautes que nous. Nous manquâmes de nous perdre plusieurs fois, et il fallu repasser plusieurs fois la rivière pour s’y retrouver. Après avoir marché paisiblement nous trouvons enfin une vieille maison qui est tombé en ruine. Nous vîmes plusieurs maisons en ruine. Tout le monde était fier de courir dans les fougères. Trois km plus loin nous trouvons la route et précipités de joie nous crions : « on est arrivé, vive nous ». Et nous découvrîmes une petite passerelle qui datait de 1934 et puis nous avons été explorés le moulin à trois et nous fîmes de belles découvertes.

FIN

J'indique que les textes sont garantis d'époque, que rien n'y a été ajouté ou retiré, pas même les fautes d'orthographe ....

Bises à toutes et tous.

Rédigé par Jean-Michel Marchon

Spécial : réponse à Gilles

Salut Gilles,

Beaucoup de choses dans tes deux commentaires dont nous pourrons bavarder à loisir pendant notre séjour fin mai. En attendant une chose à laquelle je peux d’ores et déjà répondre est : « Combien ça coûte ? ».

Gilles et Mme 2 pers. - 3 nuits - 26-27-28 /05 = 135,00 €

Qui se décomposent comme suit :

3 nuits à 35,00€ = 105,00 € + 6 p’tits déj à 5,00 € = 30,00 €

Tu peux régler, à ta convenance, par chèque ou par virement.

Voici mes coordonnées :

Jean-Michel Marchon

25, rue Etienne Thibault

77130 – Montereau fault Yonne

( 01.60.96.28.87 - 09.79.02.86.83 - 06.74.06.87.06

@ courrier@mail-j2m.fr

Rédigé par Jean-Michel Marchon

Une journée à Vézelay

Ce vendredi 24 ont été lancées, à Vézelay, les festivités relatives au 30^ème anniversaire de l’inscription de la basilique et de la colline sur la liste du patrimoine mondial de l’ UNESCO.

C’est son Excellence l’Ambassadeur du Laos auprès de cette organisation internationale qui eu l’honneur « d’ouvrir le bal ». L’Organisation des Nations unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO) est née le 16 novembre 1945. Elle compte à ce jour 192 pays adhérents. L’objectif qu’elle s’est fixé est est à la fois vaste et ambitieux : construire la paix dans l'esprit des hommes à travers l’éducation, la science, la culture et la communication.

Les organisateurs de cette journée ont été bien inspirés (comment ne pas l’être sur cette colline ?) de prévoir ce vendredi 24 avril, baigné par le soleil, alors que le lendemain il tombait des cordes sur le vézelien, et que, du haut de Fontette toute la colline était masquée par la brume !

On a pu visiter la salle gothique, à côte de la mairie, où sont exposées des photos des 33 sites classés dont Vézelay, Fontainebleau, Provins, Le Mont St Michel ou la Cathédrale de chartres. La liste complète : http://whc.unesco.org/fr/list/

On y découvrit également une exposition philatélique fort intéressante avec notamment une planche du 1^er timbre évoquant Vézelay et datée du 25-06-46 (en bas à gauche). Ce timbre fut mis en service lors du 800^ème anniversaire de la seconde croisade, prêchée sur le site de la cordelle le 31 mars 1146, le jour de Pâques, par Bernard de Fontaine, abbé de Clairvaux, plus connu sous le nom de Saint Bernard (voir la peinture à gauche même si l'on y reconnait difficilement la Cordelle et la basilique au fond... ). Pour cette commémoration de la prédication de la seconde croisade, fut organisée, au sortir de la seconde guerre mondiale, le 22 juillet 1946, « La Croisade de la Paix ». Quatorze lourdes Croix en bois furent ainsi apportées à pied depuis l'Angleterre, le Luxembourg, la Belgique, la Suisse, l'Italie, et diverses régions de France. Les pèlerins partis de ces pays suscitèrent un tel enthousiasme que plusieurs dizaines de milliers de personnes se joignirent à eux et se rassemblèrent à Vézelay. Ensemble, elles gravirent la colline en un immense chemin de croix qui s’acheva dans la Basilique-Sainte-Madeleine. L’Allemagne n’avait pas été invitée. Mais des prisonniers allemands ayant eu écho de cette manifestation demandèrent à participer. Des allemands du camp de prisonniers de Vézelay portèrent ainsi une croix en bois réalisée avec deux poutres d’une maison détruite par les bombardements : signe émouvant et fort d’une volonté de réconciliation. Les croix furent apposées dans les nefs latérales contre les murs. La Croix allemande a été placée dans le transept nord. Elle est un symbole fort de la réconciliation voulue par les hommes en vue de la construction d’une « Europe de la Paix ».

Revenons donc à cette journée de vendredi. Les différentes interventions des officiels eurent lieu dans le magnifique parc de la Maison Jules Roy, située en haut du bourg, à deux pas de la basilique. Jules Roy, écrivain français célèbre, est né en Algérie en 1907 et décéda à Vézelay le 15 juin 2000.

Il rejoint, au cimetière du village, Maurice Clavel, Max-Pol Fouchet, Georges Bataille. Il écrivit un célèbre pamphlet sur la guerre d’Algérie en 1960, puis la suite romanesque : « Les Chevaux du Soleil » qui retrace l’histoire de l’Algérie. On ressent au fil des pages l’attachement de Roy pour ce pays. Il est en phase avec de nombreux écrivains, dont Albert Camus, qu’il connu à Paris en octobre 1945 et dont il dit : « Il m’a appris que les arabes étaient des êtres humains … ».

Voilà !

Une journée riche en découvertes, au pied de cette basilique toujours si accueillante et si calme et tellement emplie de sérénité, batie sur cette colline que beaucoup ont dit "inspirée". Le bourg médiéval de Vézelay qui s'étage sur tout un versant de la colline, bordée en bas par les vignes et en haut par les remparts. Ce village avec ses rues qui serpentent, étroites et tortueuses, nous permettant à nous, visiteurs ou pélerin, de cheminer tranquillement vers le sommet.

Bises à toutes et tous.

Rédigé par Jean-Michel Marchon

Que de souvenirs ?

Jean Michel ,

Merci pour cette randonnée que tu nous présentes , ce serait avec joie de reprendre ces chemins qui furent .......... Mais , nous ne sommes pas disponiblles .

Nous aurions fait St Moré- Vezelay avec un très grand plaisir .

Peut être par la petite route en bas du camp de Chora et puis après Voutenay soit aller sur Sermizelles par le " chemin des fraises " le long de la Cure ou alors prendre les " Bois des Communaux " sur le haut et passer par Montillot , ensuite rejoindre à travers bois Vaux Donjon , après Asquins ensuite monter vers la Cordelle et après un dernier effort arriver à Vezelay .

Quel beau parcour ,

Nous vous embrassons ;

Marie Jo , Pepette

Rédigé par Christian Dondellinger

Pour les amateurs de marche et rando

Comme chaque année depuis 40 ans, la célèbre marche Auxerre – Vézelay aura lieu le dimanche 26 avril 2009. Pour celles et ceux qui cherchaient encore une occupation pour cette fin de semaine, elle est trouvée ! Venez vous joindre aux quelques 2000 marcheurs attirés par ce moment inoubliable qu’est la montée vers Vézelay !

Vous aurez, avant cela, traversé vignobles et cerisaies … en fleurs, longé la vallée de la Cure… bref ! que du bonheur… !!

Quatre départs sont prévus :

( je les ai matérialisés sur la carte par des points rouge )

Auxerre 06h00 ATTENTION : 56 km.

Cravant 08h30 35 km.

Bessy s/cure 10h00 27 km.

St. Moré 11h00 17 km.

Pour de plus amples renseignements :

Comité départemental de randonnée pédestre : 03.86.52.61.82

Bises à toutes et tous.

Rédigé par Jean-Michel Marchon

Il est toujours sympa " notre Petit Chacal "

Restons le comme lui. Il est vrai que l'édition de ce journal représente beaucoup de boulot et surtout des frais, il faut bien le dire ( la mise en page , les copies , les expéditions pour ceux qui n'ont pas de micro ). Cela représente pour Jean Michel et Roger qui sont à l'origine de ce lien de communication des frais importants et cela .. ?

Cette association, je le pense, doit être créé pour que perdure nos relations, nos liens avec ou sans "internet". Nous avons toutes et tous peut-être envie de connaitre ce qui se passe dans notre tribu. Alors un petit effort : au lieu de lire ce " Blog" et bien écrivez un peu , il me semble que les anciens ( puisque quelques années se sont passées depuis notre enfance dans cette colo ) devraient peut-être participer un peu plus .

Meci, Jean Michel pour le recadrage " Comment nous mangeon ce soir" . Mais ou vois-tu des clopes , il n'y a que des allumettes , alors ajuste tes lunettes.

Salut ,

Marie Jo , Pepette

Rédigé par Christian Dondellinger

Le petit chacal ...

Dans la note précédente, Pépette évoque notre journal : « Le petit chacal ».

J’aurai pu "rebondir" par un commentaire. Mais je préfère une note, bien visible … au moins de tou(te)s celles et ceux qui ont l’Internet.

Alors ce journal, « Le petit chacal ». C’est vrai qu’il était sympa !

Nous avions eu cette idée, Roger et moi, en nous apercevant qu’environ 50% des amis de la colo n’ont pas Internet. On s’est dont dit qu’il fallait un moyen pour leur faire connaître tout ce qui se dit sur le blog … Normal ! Et c’est ainsi que naquit le petit chacal.

Il y eut 4 numéros tirés chacun à environ 50 exemplaires.

Sur le dernier (3 pages recto-verso), j’ai mis (non sans mal) au format papier, le sondage publié sur le blog, dans le but de mieux connaître les souhaits de chacun(e) pour les rencontres (déjeuner à Saveteux – retrouvailles en Morvan).

Le blog a amené 19 réponses. Le petit chacal … aucune !

C’est vrai qu’il fallait, remplir le questionnaire, le mettre sous enveloppes, et poster le tout à mon adresse.

Pas simple, hein ? Roger et moi, quant nous éditions un numéro du petit chacal c’était 50 enveloppes que nous affranchissions et postions après avoir imprimé les pages sur nos imprimantes…

Devant ce manque de participation je n’ai plus eu envie de publier le petit chacal.

Le petit chacal est mort …. Vive le petit chacal !

Quel dommage que notre association n’ait pas été créé quant il le fallait (il est encore temps !).

Quel dommage que de méchants propos aient été écrits, se demandant où irait l’argent des cotisations ! On se le demande, en effet !

Voici un début de réponse : la rédaction, la mise en page, l’impression et l’envoi de notre petit journal : « Le petit chacal ».

Mais tu as bien raison Christian : « C’est vrai qu’il était sympa Le petit chacal ! »

Rédigé par Jean-Michel Marchon

Un camp en Août 55 ... (suite)

Vendredi

Le matin nous avons rangé le camp. L’après-midi nous sommes descendu en direction du Moulin Cadoux et nous avons pris la route de Marrault et là nous nous sommes baigné en sortant nous avons les poils des jambes plein de boue. Nous sommes partis dans ce ru au commencement le ruisseau était encaissé entre des pierres entassées et ensuite nous sommes arrivé à un petit pont de pierre ensuite nous sommes arrivé à u n Ru de Boue pendant 1 ou 2 km et nous avons encore passé sous un pont nous sommes arrivés au cousin et nous avons traversé une passerelle endommagé. Nous avons vu aussi le Cro-de-la-foudre.

Retour

Vers une heure de l’après-midi nous sommes partis en direction de Sermizelles. La route était longue. Nous nous sommes arrêtés plusieurs fois. Quelques uns d’entre nous allaient se baigner. Le plus difficile est d’arriver à Cousin la Roche. Deux ou trois ont été chercher le ravitaillement puis nous avons repris la route jusqu’à un certain endroit où nous avons repris la vallée du Cousin vers un pont délabré jusqu’à Vaux-de-Lugny. Nous sommes paris vers Sermizelles. Avant d’arrivés à Sermizelles Pahlou est venu au devant de nous. Il était accompagné de garçons et filles.

Nous avons mangé et nous avons été nous couché bien fatigué.

L'expédition n'est pas terminée. Alors si vous le voulez bien ... à suivre !

Rédigé par Jean-Michel Marchon

Alors vous êtes encore en hibernation ?

Il est dommage que le Petit chacal ne nous dise plus rien !
Il était sympa, mais ?
Ce blog est le seul lien que nous avons pour correspondre, c'est une grande aventure que nous vivons ensemble, alors pourquoi ne pas la poursuivre ?
Notre amitié d'enfance reste entière! Alors faisons en sorte que les enfants que nous sommes rester racontent encore leurs " conneries d'antant " .

Salut

Marie Jo , Pepette

Rédigé par Christian Dondellinger

Comme sur ce " blog " le silence est complet.

Je vais aussi me mettre en " black out ", mais que de belles aventures nous nous sommes remis en esprit . Celles de notre enfance, et peu importe le cheminement de chacun, cette période reste et me ( nous) colle aux pieds . Alors

Salut

Marie Jo , Pepette

Rédigé par Christian Dondellinger

Mr FOUCAULT ... Prof de math' à La Poterie

Cette note n'est pas réservée à ceux qui ont fait leurs études au collège de "La Poterie " à Montereau.

Maison de retraite " Les Noues" .
Nous venons de rencontrer Mr FOUCAULT notre ancien Prof de math , physique , chimie , ( je pense que Marc, Gérard , vous vous souvenez de lui) , ce petit bonhomme maintenent fortement diminué physiquement, mais ayant toute sa tete ( que cela doit être difficile ).
Nous avons discuté , il a tous ses souvenirs de sa vie de PROF, de sa vie actuelle qui n'est pas simple.

Mais, en pensant à tout cela, c'est quand même à l'époque, nos PARENTS avec nos PROF qui nous ont permis d'avoir une vie et d'être ce que nous sommes : des " êtres normaux "

Salut, à bientôt

Marie Jo , Pepette

Rédigé par Christian Dondellinger

Comment mangeons nous ce soir ?

Cet engin est innomable, il est difficile à gérer , mais je voulais pourtant poursuivre mon propos et bien voila !.

Sur la photo ci-contre: Peut-être quelqu'un se reconnaitera-t'il ?

Après avoir posé les sacs à dos certainement pour une petite pose pour trouver un endroit ou nous pouvions mettre nos" guitounes ". La boite d'allumettes tombe ouverte par terre. Alors un gars de l'équipe les ramasse une par une ( je pense qu'il se reconnaitera ). Car il se dit : " nous n'avons plus rien pour allumer notre feu et faire notre " bouffe"

Grâce à lui nous avons mangé, et après une bonne nuit , cela nous a permis de poursuivre nos périples .

Salut à toutes et à tous .

Marie Jo , Pepette

A Bientôt

Rédigé par Christian Dondellinger

Alors , après une panne d'ordi je reviens grace à Jean Michel

Pas beaucoup de nouvelles , nous sommes peut-être encore endormis après ce long hiver, mais il faut se réveiller le Printemps est quand même arrivé, fini notre hibernation .

Il me semble que nous avons encore des tas de choses a nous dire , que ce soit de notre colo ou de notre présent ! Jean Michel a transcrit ( en épisodes ) un petit document réalisé par des enfants heureux de vivre de telles aventures .

Comme nos parents et nos profs, cette " colo" nous a permis d'être ce que nous sommes : COPAINS , AMIS d' un demi siècle; et ça c'est formidable !

Salut les amis , un petit effort , nous avons encore ce respect de cette amitié qui je le pense nous relie toujours .

Nous vous embrassons

Marie Jo , Pepette

Rédigé par Christian Dondellinger

L'aurore boréale

Jacques et Roger ont déja décrit ce " spectacle de la nature" il y a preque un an.

Mais .

Ils n'ont pas été les seuls ( heureusement , pas de privilège ) à avoir pu en prende plein les yeux .

" Après un camp mixte à Vezelay qui se termine par le "sons et lumières" , un spectacle formidable .

Nous quittons de nuit Vezelay pour rejoindre Asquins par le chemin de la "Cordelle" , après le pont sur la Cure à Asquins ,nous poursuivons notre chemin direction de Givry pour rejoindre la colo .

Arrivès à la hauteur du Gué Pavé , tout le monde est bien fatigué , nous décidons de nous reposer dans un petit bois de sapinspratiquement au dessous du " Mont Vipères" en face de "Vaux Donjon" .

Tout ce petit monde s'assoupi , sauf nous les moniteurs Mickey , Petit Claude , et moi ( bien sur nous étions toujours fidèles au poste )

Qui a dit faux cul ? Merci je le ssis c'est toi ?

Comme tu la si bien décrit Jacques , arrive cet événement.

Au début nous nous sommes dit " tiens un orage monte ? " Mais non , au dessus de la Cure ou la brume montait et au dessus des collines de " Vaux Donjon" , un spectacle extraordinaire que l'on ne voit certainement qu'une fois dans sa vie .

Sans la réveiller l'équipe était debout pour admirer ce phénomène de la nature et surtout en prendre plein les yeux .

Ce fut !!!!!!!! On en repalle encore maintenent

Pas un mot, les yeux ecarquillés , nous sommes repartis sac au dos direction la colo en silence la tete pleine de ce que nous venions de vivre

Vezelay , ce" sons et lumières "et surtout notre " Aurore Boérale".

Je pense qu'à aucun moment nous ne savions ce qu nous venions de voir ?

De retour à la colo de très bonne heure le matin , tout le monde dépose son bardat et se couche sans reveiller les autres

Salut à tous ( qui pour l'instant restez muets )

Marie Jo , Pepette

Rédigé par Christian Dondellinger

Un camp en août 55 ... (suite).

Jeudi

Jeudi matin nous avons continué à installer le camp (table, garde-manger, four). L’après-midi nous avons marché pour l’expédition au « Ru des Vaux ». Nous avons marché dans l’eau pendant 3h30. Par endroit l’eau était profonde et il y avait beaucoup de roseaux. Nous avons trouvés des …… (illisible) et des têtards. Dans de nombreux endroits il y avait des dalles et au bout de 2 à 3 km nous nous sommes arrêtés et nous avons montés sur la berge pour se reposer et nous sommes repartis 500m plus loin il y avait la route nationale. Le ru passe sous cette route par un déversoir et nous avons continué dans les champs avec les bœufs blancs et arrivé au « Tuilerie haute ». La journée commençait à s’achever et le temps se couvrait nous avons pris le chemin du retour. Pendant que nous marchions le temps menaçait, mais l’orage n’a pas éclaté. Nous sommes rentrés au camp sans encombres. Nous étions éreintés par cette marche. Nous avons mangé puis nous avons fait une petite veillée. La nuit s’est passée sans encombre et sans orage.

La première réflexion qui m'est venue en transcrivant ces lignes, a été :

Quelle chance avons-nous eue de vivre cette colo ... à cette époque !

En écrivant " cette colo », je pense évidemment à Pahlou et toute son équipe des monos. Malheureusement, force est de reconnaître que peu d’enfants, aujourd’hui peuvent espérer connaître un tel environnement. Et oui ! L’union européenne (qui a souvent bon dos !), les énarques et autres bien pensants sont passés par là, et ont depuis de nombreuses années enseigné l’art de « l’ouverture de parapluie ».

Ainsi, pour accompagner et diriger des enfants dans les grottes, il conviendrait que notre ami Pépette soit dûment muni de son diplôme de spéléo, que France ait fait un stage diplômant lui permettant d’encadrer des séances de danses folkloriques !

Ainsi va la vie ! … pas toujours dans bon sens !

Pour l’expédition dans la vallée du Cousin… suite au prochain numéro !

Bises à toutes et tous.

JM

Rédigé par Jean-Michel Marchon