samedi 27 mars 2010

message du 14 mars 2010 de M.Théophile Pajot

Suite de l'article sur la Sucrerie de Montereau fault Yonne
Théophile a dit…
Bonjour à tous, mon père s'appelle François Pajot, son père, Gérard Pajot. Mon père a souvent évoqué envers moi l'histoire de notre famille notamment liée au sucre (bouchon-pajot), celui-ci s'étant fâché avec ses parents je n'ai jamais rencontré mes grand parents paternels et donc n'ai pu en savoir plus... Essayant de faire des recherches sur le net notamment, je n'ai rien trouvé sur cet héritage culturel, pouvez vous m'en dire d'avantage (même de petits détails)?? Merci d'avance, Théophile Pajot @:theophile.pajot@gmail.com
14 mars 2010 22:19
Je vais répondre à Monsieur Théophile Pajot. Ceux qui veulent bien mettre un mot pour compléter cette demande seront les bienvenus.
Merci d'avance
Roger

En cherchant dans les "doc"


Voila ce que j'ai retrouvé , c'était le jour de l'anniversaire
des cents ans de TANTEL , cette chanson nous l'avons chanté tous ensemble , les enfants qu'elle a défendu , les Arabes qu'elle a aussi aidés lors moment du maintien de l'ordre en Algérie . Ce fut un grand moment ...........
je pense comme il est dit que cette "colo" est une histoire
et que cette petite Bonne Femme qui effectivement nous a "remué le cul " nous a elle aussi permit avec après Palhou , Coq et tous les monitrices et teurs d' avoir cette amitié
qui depuis des décénies dure .
Voila pour ce soir.
Nous vous embrassons
Marie Jo , Pepette

vendredi 26 mars 2010

Les Américains

Je viens d'avoir un contact vidéo avec Gilles sur son bâteau. Avec Camille, ils rentrent à domicile, tranquillement. Avec sa caméra, il m'a fait un panorama de son environnement. J'ai eu un petit aperçu de la Floride...Ciel nuageux ! Tout va bien. Il ne parle que de l'année prochaine et de revenir à notre rencontre...Ils semblent très mordus l'un et l'autre.
Il transmet une grosse bise à tous,
Bisous,
Gégé

recherche....

Bonjour à tous,
Ayant pris des contacts avec les Petits Chanteurs à la Croix de bois pour retracer la vie de Pahlou dans cette célèbre Manécanterie. Ceux-ci me demandent, une date, une année pour retracer et retrouver des éléments de la vie de Jean Thuillier au sein de la chorale. Bien sûr le but est de retrouver des témoignages photographiques pour faire profiter l’ensemble de la tribu de cet éminent passage et de découvrir Pahlou un peu plus dans ce qui lui était cher : le beau chant !
J’en appelle donc à notre archiviste patenté : Pépette ou bien d’autres connaissant l’année (les) de son incorporation dans ce prestigieux corps.
Merci pour votre collaboration.
Bises
Roger

jeudi 25 mars 2010

Un petit conseil


Pour celles et ceux qui trouve que le primptemps est aussi une belle saison et qui apprécient le retour d'un temps un peu plus clément avec pour certains (es) la joie d'etre dehors , cette joie du renouveau de pouvoir jardinner .
Alors attention ........................................................
Salut
Marie Jo , Pepette

vendredi 19 mars 2010

Comme il commence à pleuvoir

Que diriez vous d'une partie de " balle aux prisonniers" sur une pelouse bien boueuse, et puis après un bon bain dans l'eau froide d'une rivière ?

Ce fut pourtant les meilleures parties que nous avons pu faire sur cette pelouse détrempée.

Couvert de boue de la tête aux pieds ,sous cette pluie nous étions heureux, et puis ce bain pour effacer les traces de notre petite bagarre, (la boue bien sur).
Heureux, surtout de pouvoir faire ce que nous voulions quelque soit le temps (il faut avouer que par temps sec ces parties étaient moins marrantes).

Alors maintenant bon bain et bonne nuit

Salut,
Marie Jo , Pepette

jeudi 18 mars 2010

Lambretta















Pour compléter le chouette article de Pépette sur le Lambretta, j'ai donc mis un commentaire avec une nouvelle histoire.
Pour les amis(es) qui s'en souviennent j'essaie d'incruster deux photos souvenirs...Malheureusement je n'en ai pas avec Pépette, je le regrette, vu ce que nous avons parcouru comme route ensemble...

Bises à tous,
Gégé

Un métier d'autrefois...

Cela devait se passer dans les années 1955. Comme la troupe des nains dans Blanche-Neige, nous allions à travers la forêt, gourde en bandoulière, casquette vissée sur la tête et canif dans la poche pour rejoindre notre cabane qui devait se situer au milieu des bois. Par un chemin inhabituel, dans une clairière, nous fûmes surpris de rencontrer des gens qui travaillaient !
Ils s’affairaient autour d’une imposante structure faite de bois et de terre avec au sommet une sorte de cheminée qui laissait échapper une fumée transparente. A nos regards interrogatifs le moniteur nous précisa que nous étions en présence de charbonniers. Il en profita pour interroger les hommes des bois qui gentiment nous décrire leur métier :













Les charbonniers travaillent souvent en équipe. Dans la majorité des cas, la charbonnière, meule, comportant plusieurs empilements de bois autour d'une cheminée centrale était recouverte de feuilles, de mousse et de terre battue. La meule une fois construite, le charbonnier y mettait le feu en introduisant du bois déjà enflammé dans la cheminée. Puis le feu se propage peu à peu dans la meule; tout l'art du charbonnier réside dans la maîtrise de la propagation du feu dans la meule. Passé maître dans l'art de dominer le feu, le charbonnier produit du charbon de bois par carbonisation. Sa matière première, le bois, donnera, au terme de plusieurs jours de travail et de surveillance, ce charbon de bois qui servait jadis au chauffage et à l’industrie.
Vraisemblablement en 1955, nous étions en présence des derniers artisans charbonniers de la forêt. Cette histoire est véridique, elle démontre que des activités existaient dans la forêt morvandelle. Nous étions loin de notre petit monde d’insouciance et de bonheur au regard de ce métier fait de pénibilités et de salissures!

Bises à tous,
Roger

mercredi 17 mars 2010

Notre cheval d'ados

Ce n'était pas "Pégase" mais un " Lambretta".

Ce scooter fut grâce à Gégé notre moyen d'évasion .
Il fut fidèle , mais comme le dit Gégé.
En revenant des " trois pignons", si mes souvenirs sont exacts, il fit un caprice à Arbonne, donc nous l'avons laissé chez un garagiste (je pense que cette personne l'était) puis il a fallu rejoindre Fontainebleau pour prendre le train et revenir à la maison où chacun a pris un " soufflante " des parents (je ne me souviens plus comment nous avions rejoint Fontainebleau, Gégé toi te souviens tu ?). Quelques jours plus tard , c'est le mari d'une collègue de Gégé qui nous a emmené à Arbonne pour le récupérer.

Il fut aussi le moyen de rejoindre la colo au mois de Juillet la colo.
Nous partions le Samedi après le déjeuner (car à cette époque post Moustèrienne nous travaillons le matin).
Donc direction le Morvan
Nous y passions le week-end , et puis retour le Dimanche soir.

Il nous a même emmené à Caen chez Yvette et Mickey et cela au mois de Novembre (l me semble) il faisait un froid ...... En revenant à Montereau nous étions tellement gelés que quand nous sommes descendu de cette monture nous avions du mal à marcher.

Voila pour ce soir, mais il y en a d'autres, Gégé peut aussi écrire sur cet engin qui nous a permis de faire des tas de choses.

Bonsoir à toutes et tous

Marie Jo , Pepette

samedi 13 mars 2010

Merci Pépette, bonjour à tous,

Pépette, il m’est agréable de te retrouver sur le blog, bien sûr, je serai attentif à l’histoire du Lambretta de Gégé (cela doit être épique et héroïque). Sinon, je te remercie pour les louanges sur ma girafe made in sermizzz......, il est vrai, qu’elle a belle allure pour son âge!
Comme tu le dis si bien Pépette, les petites attentions envers les autres font du bien aussi à ceux qui les reçoivent et aussi à ceux qui les donnent ; l’histoire de nos 2 malades décrite par Jean-Mi est pleine de leçons sur la capacité de rendre l’autre heureux avec quelques mots, vraiment une belle histoire !
Jean-Mi annonce un nombre important de participants pour notre repas du 25 avril 2010, je sais que son travail de relance à porté ses fruits, qu’il soit remercié pour cette volonté qui l’habite. Il est vraiment important de se retrouver fraternellement autour d’une bonne table dans ce pays de Jouarre.
Je souhaite un bon WE à tous
Bises
Roger

vendredi 12 mars 2010


Salut,
Retour,
Grace à Jean Michel et Roger je peux ce soir vous dire.
Roger ta giraffe il faut que tu la garde car meme si elle n'est pas datable au carbone 14 , elle n'a pas une trace du temps ( tu sais un gamin qui imaginne et réalise
cela c'est quelleque chose de formidable .)
"Chapeau les colons" pour tout ce que vous nous avez
apporté .
Maryse , Jean Marie,
Il faut que la vie continue,
Comme vous le dite c'est un renouveau ,après de dures
épreuves bien sur sans oublier ceux qui nous ont quittés
Soyez bien ensemble , la vie en vaut la peine.
Jean Michel,
Tu as absolument raison ce " Mur" en réalité c'est ce qu'il pouvait apporter c'est très émouvant .
Si...... chacun pouvait apporter un peu de joie de bonheur de réconfort la vie de" certains serait moins difficile , il me semble.
voila mes pensées en pouvant correspondre avec vous, mais à l'origine je voulais parler du " Lambretta de Gégé" il est vieux(pas Gégé ) le scooter il faut le temps qu'il redemarre.
Nous vous embrassons
Marie Jo , Pepette

Une résurrection

Clin d’œil : Immense soulagement dans la tribu, après plusieurs semaines de tracas informatique l’ordinateur de Pépette vient de retrouver la voix et l’image. Je ne supportais plus de converser avec des signaux de fumée entre Fontainebleau et la colline des Grandes Berges. Jean-Mi a remis de l’ordre dans cet ordinateur récalcitrant. Qu’il en soit remercié !
Pépette piaffait en attendant de s’exprimer. Maintenant la UNE est à toi mon cher Christian.
Bravo à nos vaillants Sermizelliens pugnaces devant l’informatique.
Bises
Roger l'ayack

Une belle histoire

Une belle histoire en effet, et je ne résiste pas à l’envie de la partager avec vous !
Ca donne à réfléchir !
Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital.
L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit, pendant une heure chaque après-midi, afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre devait passer ses journées, couché sur le dos.
Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits où ils avaient été en vacances. Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors. L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.
De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac, les canards et les cygnes jouaient sur l'eau, tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait percevoir, au loin, la ville se dessiner. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque. Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.. Les jours et les semaines passèrent.
Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.
Dès qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre.L' infirmière , heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul.
Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors....Enfin, il aurait la joie de voir, par lui-même, ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or, tout ce qu'il vit, fut un mur !
L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité. L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager, commenta-t-elle.

Épilogue : Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé. Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter. Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi on l'appelle présent. Alors ? Elle est pas belle la vie ?

Bises à toutes et tous.
JM.

jeudi 11 mars 2010

De bonnes nouvelles ...


Bonjour à tous et à toutes ...

Partager de bonnes nouvelles est aussi l'un des objectifs de ce blog ...

Et justement, nous en avons à partager !
Après des années de bonheur, chacun de notre côté, nous avons connu la maladie et la profonde douleur de perdre notre conjoint ...
Nous étions "hors du monde", déconnectés de la vie, et nous n'avions aucun projet, sinon celui de survivre pour nos enfants ...
Et puis un jour, grâce à notre chère Coquelicot, nous avons fait connaissance. Jean-Marie faisait partie d'un mouvement national qui aide les veuves et les veufs à traverser les premières années de veuvage.

Le téléphone a été notre moyen de contact. Nous n'étions pas du tout de la même région. Jean-Marie était un ami d'enfance de Jacques et un "sermizellien" : malgré une séparation géographique importante, il ne l'avait pas du tout oublié !

Nous nous sommes apporté l'un à l'autre, l'écoute dont nous avions besoin, puis nous nous sommes rendu compte de la profondeur des liens créés entre nous.

Pourquoi attendre et attendre quoi ?

Nous nous sommes mariés à Toulouse.
Le souvenir de nos époux décédés est constant et nous en parlons très souvent, si bien qu'ils sont une part essentielle du ciment qui nous unit.
Notre mariage n'est que le commencement d'une aventure magique, porteuse d'un espoir vibrant en la vie.
Nous avons parcouru un grand chemin chacun de notre côté, fait de joie et de douleur pour l'un et l'autre.

Si vous observez bien cette photo, vous y trouverez la trace d'une émotion que nous espérons garder dans les années à venir...

Un dernier mot : Merci Coquelicot !

Maryse et Jean-Marie

samedi 6 mars 2010

confection d'objets en tout genre

Bravo ROGER pour ces souvenirs. Je possède encore chez moi un panier confectioné par mon frère Serge qui a la même date que ta Girafe. Encore merci d'évoquer ces travaux . Salut à tous

L'art primitif à la colo...

Tout se passait dans la tour carrée ou à l’extérieur de celle-ci : atelier de poterie, atelier de peinture, atelier d’osier et de raphia.
Nous devions être âgés d’une dizaine d’années. Le matin après le déjeuner, avec nos monitrices nous exercions nos talents avec quelques brins d’osier et un seau d’eau pour assouplir cette fibre afin de la rendre docile et malléable. La confection du panier ou du plateau à fromages ou les objets en glaise devait être l’œuvre de nos vacances.
Les produits employés étaient nobles et venaient directement de la nature : glaise grise, osier, peinture à l’eau avec des pigments naturels, même le séchage des objets en argile profitait des rayons généreux du soleil.
Cela rappelle, étrangement l’art primitif des premiers hommes des cavernes ou de nos lointains ancêtres des cités lacustres. La similitude est frappante : confectionner des pots, des réceptacles pour garder la nourriture, faire un panier en osier pour la cueillette des baies, orner une grotte (l’art pariétal) avec de la peinture pigmentée d’ocre ou d’oxyde.
Nous étions proches par nos expressions artistiques de nos lointains cousins des grottes d’Arcy sur Cure et cela à quelques encablures des grottes de Saint-Moré.
Vous trouverez ce que j’appelle mon art primitif en annexe: confection d’une girafe en raphia à la colonie de Sermizzzz.

girafe raphia authentique made in sermizzz>>>>>>












Au carbone 14, cette girafe date d’au moins 52 ans !

Bon WE, Bises à tous,
Roger

vendredi 5 mars 2010

Bilan pour février 2010




L'analyse du blog a donné les résultats suivant entre le 1er et le 28 février 2010 :


Fréquentation du site

* Visites : 828
* Pages vues : 2 370
* Pages par visite : 2,86
* Taux de rebond : 52,66 %
* Temps moyen passé sur le site : 02m32s
* Nouvelles visites (en %) : 10,51 %

Origine géographique des visiteurs

Par pays (principaux) :

France : 816
Royaume-Uni : 3
Allemagne : 2
Belgique : 2

En France / les 20 premières (central téléphonique ou regroupement) :

1. Avon 136
2. Emerainville 127
3. Lognes 118
4. Fontainebleau 95
5. Champs-sur-Marne 65
6. Besancon 36
7. Croissy-Beaubourg 36
8. Montbeliard 28
9. Paris 25
10. Le Plessis-Trevise 22
11. Marne-la-Vallee 15
12. Toulouse 15
13. Dijon 8
14. Roissy-en-Brie 8
15. Marne-la-Vallee 8
16. Orleans 6
17. Villiers-Saint-Denis 6
18 Auxerre 5
19. Chatou 4
20. Noisy-le-Grand 4














<- Cliquez pour mieux voir


Pages les plus vues / les 10 premières (toujours pour février 2010)


1. /2010/02/inondations-1910-montereau-fault-yonne.html
2. /2010/02/la-bataille-de-montereau_22.html
3. /2010/02/photos-pele-mele-des-annees-1980.html
4. /2010/02/jouarre-25-avril-2010.html
5. /2010/01/la-sucrerie-de-montereau.html
6. /2010/02/de-nos-amis-doutre-atlantique.html
7. /2010/02/des-photos-suite.html
8. /2010/02/essai.html
9. /2010/02/reponses-aux-blogeurs-de-la-colo.html
10. /2010/02/le-lavoir.html

lundi 1 mars 2010

La tempête 27-28 février

Nous avons reçu en région parisienne un bon coup de tabac, mais je crois que ce n'est rien au regard de ce que nous voyons pour les régions ouest.
Cocotte, si tu as du courant (?) dis-nous comment ça se passe du côté des Sables. Nous avons eu La Rochelle en ligne hier matin et ce n'était pas joyeux.
Vous avez aujourd'hui la visite de notre super président, mais ça n'effacera pas les dégats pour autan.
Bisous,
Gégé