Notre séjour 2013 dans le
Vézelien est terminé … vive les retrouvailles 2015 !
Une fois encore les
absents ont eu tort, au moins autant qu’ils (elles) nous ont manqués (notez
et réservez : fin mai 2015) !
Nous avons désormais nos
habitudes au V.V.F. de Châtel-Censoir, et à l’Etape des Gourmets (l’auberge du
village), où évidemment nos chants ont résonné, entrecoupés d'histoires
racontées par Jacques qui firent rire l’assistance !
Dominique Verrier-Compain,
guide régionale, nous a accompagné une fois encore, le mardi à Vézelay, et le Vendredi
à Avallon.
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| dans la basilique |
Pour Vézelay, j’avais
souhaité une visite sortant des sentiers battus : elle nous a proposé un
très agréable moment dans la chapelle des franciscains de la Cordelle, puis dans une
cave où, aux XIème et XIIème siècles, on recevait les pèlerins. Aujourd’hui on
peut y voir des pressoirs à raisin, installés là
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| Un pressoir |
après que les reliques (qui
firent la richesse de Vézelay) furent entrées en disgrâce, suite aux pressions
exercées par une ville de Provence se prétendant propriétaire des dites reliques
de Marie-Madeleine. Il faut dire que le jeu en valait la chandelle, vus les
dizaines de milliers de pèlerins venant de tout l’occident ! Il faut se souvenir qu’à cette époque Vézelay
intra et extra-muros, a compté jusqu’à 12.000 habitants. Ils sont aujourd’hui
250 … malgré le retour de reliques !!
Mercredi, avec Danièle
Cavillon-Leclerc nous étions à la
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| Quel sérieux ! |
baignade de Sermizelles pour un moment
mémorable de dessin
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| Danièle et Claude |
au fusain : le moulin fut mis « à toutes les
sauces », tandis que d’autres avaient choisi de croquer le clocher de
l’église ou encore la tour Malakoff … Après le déjeuner (presque traditionnel)
à Blannay, un concours de boules était organis
é à Châtel-Censoir, sous quelques
averses entrecoupées de belles éclaircies.
Quelle rigolade !!
Jeudi matin direction Clamecy, où nous découvrons l'histoire du flottage du bois grâce aux bénévoles de la confrérie St Nicolas
(le patron des
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| Très attentifs aux explications |
transporteurs). Très intéressant d’apprendre le travail fait dans
le Morvan pour faire parvenir du bois de chauffage à Paris ! D'abord coupé en tronçons de 1,14 m, le bois flottait
ensuite, sur toutes les rivières morvandelles. Pour que les bûches avancent, on
créait des crues artificielles par un ingénieux système de perthuis (barrages).
Elles étaient finalement regroupées à Vermenton ou à Clamecy. Là les trains de bois étaient
constitués avant de partir vers la capitale sur la fin de la Cure
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| Un début de train de bois |
jusqu’à Cravant, puis
sur l’Yonne et la Seine. Quel
boulot … d’autant qu’une fois le bois livré, les flotteurs rentaient au
pays … à pied !!
Jeudi encore, après le déjeuner au bar
des hirondelles à Asquins, les 6 équipages qui avaient été désignés (3
personnes / voiture), ont pris la route pour un rallye touristique d’environ 90 km, jalonné d’une 30taine
de questions sur l’histoire locale, mais pas seulement ! Ce fut l’occasion de
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| Le château de Chastellux |
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| Notre terrain de jeu ! |
découvrir de jolis p’tits
coins (la Brinjame,
un affluent de la Cure),
par des petites routes plutôt sympas et quelquefois pentues, en remontant la
rivière Cure : St Père, Les Fontaines Salées, La roche percée, Domecy
s/Cure, Cure, jusqu’à Chastellux, où Philippe de Chastellux aida certains
concurrents à répondre aux questions !! Puis
« remontée » vers Magny, pour rejoindre le Cousin avant
Méluzien. Entrée dans Avallon par Moulin
la Roche et le
quartier des Tanneries, avant d’emprunter la petite route qui longe la rivière
jusqu’à Pontaubert, et suivre son cours jusqu’à son terme : Blannay où il
se jette dans la Cure.
Vendredi matin nous
retrouvons Dominique, notre guide, au pied de la statue de
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| Avallon - Tour de l'horloge |
Vauban pour une visite
d’Avallon, qui nous a d’abord conduits vers un jardin en étage, puis dans la
salle de réunion des échevins (dans la tour de l’horloge), et pour terminer
dans la maison des Sires de Domecy s/ le Vault à côté de la
Collégiale Saint-Lazare.
Déjeuner
et moment bien convivial chez Mme. Pivin à Blannay. Vers 14h, comme d’hab nous
nous sommes séparés, la tête pleine de souvenirs, comme le dit la
chanson :
« Allons
les amis faut partir, fait s’en aller à la maison, la tête pleine de chansons
et le cœur plein de souvenirs … allons les amis faut partir ! ».
A
bientôt !
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| Qui recevait les blessés à Pontaubert :La réponse est ici ! |
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| Monument Pasteur à Marrault |
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| Plaque commémorative à Givry. |
