dimanche 8 mai 2011

Histoire d’O

Je suis donc allé dans le vézelien vendredi pour boucler les RdV que nous aurons lors de nos retrouvailles dans une 20taine de jours.
Et comme d’hab je me suis attardé près de la Cure pour y faire quelques photos :
Dites-moi : est-ce que cette couleur d’O, ces pierres plates (à gauche), ne vous évoquent-elles pas quelques chose ?

Là elle est un peu maigrichonne la Cure, elle manque d’eau.


La baignade était, on le sait, le bief du moulin qui ne mouline plus. Dommage qu'il n'ait pas été entretenu. Aujourd'hui il ne retient plus l’eau, et il serait bien difficile d'y piquer une tête !

Ce mur (à gauche), cette partie du déversoir … ça vous dit quelque chose ? Quelle fierté de pouvoir s’y hisser après avoir traversé cette
« grande » baignade !



Toujours une histoire d’O. Devant la colo, un peudans l’aval du « barrage » soigneusement entretenu chaque année, il y avait une petite ile où poussaient de magnifiques roseaux ! La voici !

Et puis je termine par cette photo d’eau sur laquelle j’ai un peu torturé les contrastes, c’est le moins que je puisse dire !. Difficile de faire ressortir l’émotion qui émane de ce lavoir !
A un moment, il m’a semblé entendre le bruit d’un plongeon, bien à plat … qui claque à la surface de l’eau ! Non, non, je n’ai pas rêvé : c’était un chien qui allait se rafraichir !


Bises à toutes à tous.
JM

2 commentaires:

  1. Merci et bravo Jean Mi sur ce beau reportage, qui nous met l'eau à la bouche avant nos retrouvailles.
    Les photos sont superbes, mais quel désastre de voir tant de dégats sur le déversoir, la baignade...
    Bisous à tous,
    Gégé

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  2. Jean-Mi, au travers de tes photos, nous pouvons voir les vestiges (lavoir de la colo, déversoir, baignade) par rapport à notre période colonie: cela commence à devenir de l’archéologie…Néanmoins, la Cure reste de la même couleur et apporte cette magie et cette beauté à un cadre exceptionnel. Notre île aux roseaux a maintenant fière allure. Elle a profité des limons de la Cure. L'imaginaire nous permet de nous projeter quelques + 50 années en arrière et nous retrouvons alors l’ambiance de nos jours heureux et insouciants. Bravo l'artiste pour ce reportage photo et vive la communication moderne.
    Bises à tous.
    Roger

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