Ce matin en lisant les statistiques, je me disais que nous avions une chance inouïe de vivre en cette période faste de communication (internet oblige). Les statistiques de notre site prouvent que notre blog peut intéresser et être lu aux confins et antipodes de la planète ( States, Brésil, Allemagne, Belgique et autres….). Je me dis que nous avons cette aubaine de pouvoir expédier, recevoir dans son fauteuil des nouvelles de la grande famille des Sermizelliens et ainsi élargir notre sphère. Quelques-uns ont pu renouer avec leurs familles grâce à notre lien électronique, je pense plus spécialement à la famille Pajot. Des States, notre ami Gilles Girard a pu par internet rétablir un contact avec sa colonie préférée et venir nous voir pour participer à notre rassemblement de Châtel-Censoir. Des enfants ont pu découvrir au travers du blog la jeunesse de leur père ou de leur mère dans cette colonie dynamisée par les moniteurs (trices) et un Pahlou très éducateur et avant-gardiste sans oublier notre père Louis. Ce lien m’a permis d’acquérir des photos des uns et des autres de ces temps mémoriaux. Partant d’aucune photo de la colonie, je dispose maintenant d’un véritable album où je peux revivre les meilleurs instants grâce à vous. Les témoignages forts, les histoires et les moments magiques sont relatés par nos monos et colons avec la même ferveur que d’antan.
Bien sûr, les moments de retrouvailles sont des plus captivants, surtout quand nous entonnons nos chants et reprenons les chemins de notre enfance au travers de la forêt du Morvan. La vision de Vézelay (colline éternelle) au loin au détour d’une route éveille en nous beaucoup de souvenirs et de camps.
L’approche de Sermizelles et la vision de la colonie par la route ont la même charge émotionnelle sur chacun de nous que dans notre jeunesse. Le bruit d’une pagaie brassant l’eau dans la vallée de la Cure ou la vue d’un canoë réveillent des émotions bien sympathiques. Rien que pour cela, il est important de se voir à Châtel-Censoir fin mai et de partager ces instants de communions bien précieux. Un remerciement à Jean-Mi et Pépette pour le temps passé à nous concocter des programmes de qualité pour notre retrouvaille prochaine.
Bises à tous
Roger
Bonjour à tous,
RépondreSupprimerEn lisant la prose de ROGER, il a très bien décrit ce que chacun d'entre nous pense. Bravo pour toutes ses remarques et rappels notre conscience d'enfants de l'époque. Merci encore et à bientôt. Vive la colo et vive les sermizéliens
Voila des lignes Ô combien pertinentes !
RépondreSupprimerRoger décrit très bien les sentiments que beaucoup d’entre nous ressentent en arrivant dans « notre secteur » ! J’en parle d’autant mieux que j’y étais hier (je vous raconterai mon voyage dans une prochaine note) pour m’assurer que notre venue est bien notée sur les agendas des personnes chez qui nous irons, à un titre ou à autre pendant nos prochaines retrouvailles !
Quant à l’utilité d’internet, ce lien électronique, il ne fait plus aucun doute, sauf peut-être pour quelques uns qui refusent obstinément l’évolution des technologies, et particulièrement de celle-ci !
En ce qui me concerne, sans internet, je n’aurais jamais pu élaborer le protocole que j’ai mis au point pour me soigner sans avoir recours à la chimio. Ce ne sont « que » des plantes … mais sans internet je ne les aurais certainement jamais trouvées. Jamais je n’aurais pu obtenir des infos par des gens comme le Pr. Belliveau au Canada, Mme. Beljanski à NY. et d’autres encore ! Il m’a fallu 4 mois pour mettre cette liste de produits (sans interactions entre eux) au point. Car c’est une chose de braver le cancérologue en refusant la chimio, s’en était une autre de le « convaincre » en lui apportant quelque chose de tangible, pour l’amener à reconnaitre que mon protocole tient la route, et que, désormais on va fonctionner comme ça ! À ce jour les scanners prouvent que j’ai raison de penser et de dire qu’un organisme humain n’est pas prévu pour recevoir de la chimie, fut-elle administrée par un médecin !
Internet m’a aussi aidé à retrouver des anciens comme Jean-Claude et Michel Gironde, que nous aurons peut-être le plaisir de retrouver à Châtel.
Et la chasse aux « Sermizelliens » n’est pas fermée ! On entend par ci, par là des critiques sur les réseaux sociaux comme FaceBook. C’est pourtant une mine d’or pour retrouver des amis « perdus de vue », telle Jocelyne Pochard, une ancienne de Montereau, qui est allée quelque fois à la colo.
Bon WE,
Bises à toutes et à tous.
JM.