mercredi 17 mars 2010

Notre cheval d'ados

Ce n'était pas "Pégase" mais un " Lambretta".

Ce scooter fut grâce à Gégé notre moyen d'évasion .
Il fut fidèle , mais comme le dit Gégé.
En revenant des " trois pignons", si mes souvenirs sont exacts, il fit un caprice à Arbonne, donc nous l'avons laissé chez un garagiste (je pense que cette personne l'était) puis il a fallu rejoindre Fontainebleau pour prendre le train et revenir à la maison où chacun a pris un " soufflante " des parents (je ne me souviens plus comment nous avions rejoint Fontainebleau, Gégé toi te souviens tu ?). Quelques jours plus tard , c'est le mari d'une collègue de Gégé qui nous a emmené à Arbonne pour le récupérer.

Il fut aussi le moyen de rejoindre la colo au mois de Juillet la colo.
Nous partions le Samedi après le déjeuner (car à cette époque post Moustèrienne nous travaillons le matin).
Donc direction le Morvan
Nous y passions le week-end , et puis retour le Dimanche soir.

Il nous a même emmené à Caen chez Yvette et Mickey et cela au mois de Novembre (l me semble) il faisait un froid ...... En revenant à Montereau nous étions tellement gelés que quand nous sommes descendu de cette monture nous avions du mal à marcher.

Voila pour ce soir, mais il y en a d'autres, Gégé peut aussi écrire sur cet engin qui nous a permis de faire des tas de choses.

Bonsoir à toutes et tous

Marie Jo , Pepette

2 commentaires:

  1. Bravo Pépette pour ces remarquables histoires de nos mentors en scooter sur les routes. Pas facile de revenir en novembre de Caen par ce froid. J'attends la suite avec impatience.
    Bises
    Roger

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  2. Et oui, que d'épopées avec ce scooter !! Comme toujours, quand nous décidions tous les deux(Pépette et moi)nous faisions...Etait prévue une visite à Coulommiers, chez Jacques, où ses parents nous recevaient toujours comme leurs propres enfants. Il devait geler à -10 -12° et nous sommes partis ! A l'aller, pas brillants, mais au retour complètement congelés ! Je ne parle pas de la nouvelle soufflante des parents. N'empêche que nous n'avons même pas eu un rhume ! A la dure comme à la dure disions-nous en ces temps héroïques !! Posséder une voiture à cette époque relevait déjà du petit bourgeois...il fallait souvent avoir le portefeuille de papa pour l'acheter, ce qui n'était pas notre cas. Alors ce Lambretta nous a ouvert tout un espace de libertés et nous en avons bien profiter et je l'avoue, sans accident, tout en alternant nos conduite de l'engin.

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