lundi 27 avril 2009

Un camp en Août 55 ... suite et fin.

Sur ce même cahier, sont relatés les exploits d’une autre équipe composée de :

Astrid – Annie – Jean-Jacques – Bernard – Daniel – Pépette.

Expédition La Rochette.

Jeudi matin accompagné de quatre camarades je pars en reconnaissance d’une passerelle qui d’après les instructions de notre moniteur doit de trouver à environ 1 km du Moulin Cadou, sens contraire du courant. Nous empruntons la route du Moulin Cadoux, puis sur notre gauche un chemin de coupe : nous y pénétrons. Après avoir parcouru 300m, nous prenons un sentier praticable sur 100m environ. Une difficulté s’offre à nos yeux : « un mur de ronces, de branchages d’épines est là presqu’infranchissable. Pourtant il faut passer. A l’aide de nos couteaux et de nos pieds nous parvenons à grand’ peine à nous frayer un maigre passage. Nos membres sont couverts d’égratignures, mais nous reprenons notre chemin ou nous trouvons un tronc d’arbre posé sur un rocher. Nous pensons que c’est la passerelle cherchée et nous rebroussons chemin parce qu’il est l’heure de déjeuner. Nous rentrons manger et nous faisons le plan de notre expédition.

Vendredi.

Le Vendredi matin à 10h nous partons tous joyeux. Nous passons par le Moulin Cadoux et nous reprenons le chemin de la veille et nous rencontrons la véritable passerelle indiquée sur la carte d’état-major. La deuxième de la passerelle indiquer était encore très endommagé il ne reste plus que 2 poutres. Nous y passons assez difficilement nous rencontrons 2 chemins. Ne sachant lequel prendre Mimi dit : « On n’a qu’à prendre le plus près du Cousin ». Nous passâmes dans des fougères deux fois plus hautes que nous. Nous manquâmes de nous perdre plusieurs fois, et il fallu repasser plusieurs fois la rivière pour s’y retrouver. Après avoir marché paisiblement nous trouvons enfin une vieille maison qui est tombé en ruine. Nous vîmes plusieurs maisons en ruine. Tout le monde était fier de courir dans les fougères. Trois km plus loin nous trouvons la route et précipités de joie nous crions : « on est arrivé, vive nous ». Et nous découvrîmes une petite passerelle qui datait de 1934 et puis nous avons été explorés le moulin à trois et nous fîmes de belles découvertes.

FIN

J'indique que les textes sont garantis d'époque, que rien n'y a été ajouté ou retiré, pas même les fautes d'orthographe ....

Bises à toutes et tous.


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