mercredi 26 décembre 2007

LA CURE ET LE COUSIN

En 1950 je crois, Jean Lille avait édifié un camp tout là-haut, au confluent de la Cure et du Cousin. Les "moyens" y résidaient et les "grands" leur livraient, en canoë, leur repas chaud, monté par un cable. Quelle aventure!...

Depuis, j'ai grandi ( et vieilli ). J'ai vu des paysages grandioses comme par exemple le Grand Canyon du Colorado,superbe, immense. Mais qu'est cela face à l'intimité, aux rais de lumière, au souffle de l'air froid ou tiède, à l'odeur des berges, au clapotis de la pagaie .? Le bonheur est-il toujours sur la Cure ou le Cousin ? Il est, pour un ancien gosse de mon âge, dans le souvenir de Sermizelles et de sa Colo

Au fait, Monsieur le Maire, peux-tu enlever ces containers d'ordures "triées" à la baignade C'est laid !

François Dart

4 commentaires:

  1. Bravo François,
    encore, encore et merci
    nous attendons toujours aussi impatients,
    Salut
    Pepette

    Rédigé par: Givry

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  2. Quelle chance nous avons eu, de connaitre ces endroits où, pour certains d'entre eux, la main de l'homme n'avait jamais posé le pied !
    Je crois me souvenir qu'une telle expérience de ravaitaillement par "téléphérique" a été refaite depuis la colo ! Quelqu'un se souvient-il de ça ? Le camp était sur la petite île juste après le "barrage". La cabane de ce camp était éclairée grâce à une petite ampoule alimentée par une dynamo de vélo qui elle-même tournait par un "moulin" avec des ailettes réalisé dans une boite de confiture du Père Louis..
    Grandiose !
    Merci François de nous faire revivre ça !
    A bientôt.

    Rédigé par: Jean-Michel Marchon

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  3. Pour moi, ce serait plutôt en 51 (en 50, j'étais à l'armée)...mais quelle importance? L'essentiel, ce sont ces images qui nous restent. Merci.

    Rédigé par: LILLE Jean

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  4. Cher François,
    Effectivement, bien après tes moments de colonie, nous entendions évoquer ce fameux camp que maintenant nous pouvons situer en 1950 avec le téléphérique ravitailleur de repas chauds. Je suis content que tu relates ce moment passionnant et cette expérience encore formidable.
    Merci pour cette page d'histoire Sermizellienne.
    Roger L'ayack

    Rédigé par: rbsermizelles

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